Promesses tenues…

Dimanche a tenu ses promesses. Il a été joyeux et amical. De ces dimanches où l’on ne sait plus très bien si l’on est entre amis ou en famille tant les liens qui nous unissent avec nos amis sont forts et se sont construits sur de longues années. Nous avions décidé de rendre visite à des amis très chers mais d’autres avaient eu la même idée et l’après-midi fut une longue suite de retrouvailles. L’occasion d’écouter parler de ceux qui nous sont chers par ceux qui nous sont chers aussi et de  raconter ceux que nous aimons a ceux qui les aiment aussi.

Le dimanche des « actifs » est souvent rempli d’enfants à aller chercher, à raccompagner, entre leurs différentes activités et parfois aussi l’heure des séparations et des retours vers les différents endroits où l’on étudie.

Les vacances des enfants sont souvent des périodes assez actives pour les grands parents qui servent de relais de vacances à leurs petits-enfants et permettent aux parents de connaître aussi un peu le repos.

Le petit monde prétentieux de ceux qui dirige les pays, et des autres politiques ou technocrates, schématise le réalité et imagine qu’il n’y a plus de vie après la vie professionnelle mais ( à l’exception de quelques malheureux qui perdent tout en perdant leur travail ☹️) la vie ne s’arrête pas avec la vie professionnelle. Le rythme change certes et nos activités sont rarement prioritaires mais tout le jeu consiste à savoir placer sa vie au second plan, vivre à la fois des priorités des autres et de nos propres préoccupations.

Tout cela est parfois difficile à ajuster et les règles ne sont pas si claires mais la recherche de ces équilibres occupe à plein temps.

Un bon dimanche donc…

Cette semaine devrait voir mon chantier en cours tendre vers sa fin et peu à peu ce qui était du domaine du rêve tend à ressembler à quelque chose.

Pour ELLE c’est une semaine professionnelle et je perds ainsi de l’aide…et de la stimulation 😉. Il faut que ça avance car j’aspire à changer d’horizon (au moins de pièce 😂😂). L’heure du jardin approche à grand pas et il me désole de l’abandonner à ce point.

Je te laisse, ami lecteur. Bon courage à toi. Je t’embrasse.